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Styl is Tika - Page 34

  • EXPO COVER GIRL, RETOUR VERS LE FUTUR

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    COVER GIRL est une exposition futuriste et nostalgique à l’espace Art, Mode, Design des Galeries Lafayette. Un voyage dans le temps, qui traverse cinquante ans de photographie de mode illustrés de façon contemporaine par onze artistes et collectif. La photographie de mode, perçue comme une culture en soi, et la Cover Girl, la fille de la couverture de magazine mise en drapeau, ou en écharpe, presque symptomatique ! Une expo hybride.

    Comment renouveler le genre de la photo de mode, une culture visuelle partagée dans le monde entier ? Et comment faire de la Cover Girl une arme d’inspiration massive ? C’est le défi de cette représentation haute en couleur. Un regard décalé sur l’esthétique de la « belle femme ».

    Plusieurs écoles dans les couloirs de l’exposition.

    Il y a les critiques transformistes : Joséphine Meckseper, Martha Rosler (illustration de droite ci-dessus), General Idea, Michel Journiac (illustration du carton d'invitation), Claude Kosky, Hsia-Fei

    Les inspirés : Alex Katz, Juan Francisco Casas

    Les dénicheurs : Hans Peter Feldmann, Marlo Pascual, Rebecca Bournigault

    Au sein de ce parcours subliminal, une enclave figurative et charmante, une sélection inédite de couvertures de magazines éditées par les Galeries Lafayette de 1906 à 1968. Celle de 1938 vaut le détour, la Girl pourrait être dans le prochain ELLE ! Comme l’écrit Jonathan Chauveau, le commissaire de l’exposition, cette mini expo dans l’expo «est une source d’inspiration initiale du projet, leur présentation est une manière d’inscrire COVER GIRL dans l’histoire du Grand Magasin, tout en offrant un contrepoint historique aux « beautés de papier glacés » d’aujourd’hui.

    Mes coups de cœur :

    exposition, cover girl, galeries lafayette, la galerie des galeriesJuan Francisco Casas, ou le « Ballpoint Artwork »,

    dessine au stylo BIC ses toiles inspirées de ses photos.

    L'illustration couleur ci-dessus n'est pas une photo mais un dessin !

     

     

     

    exposition, cover girl, galeries lafayette, la galerie des galeriesJoséphine Meckseper, l’étude de l’art

    ou la manière de présenter les marchandises.

     

     

     

     

     

    La COVER GIRL, tu parles d’une couverture !  Un temple oui ! Le lieu de culte de tous les humains inspirés, une projection identitaire, un jeu de rôle. Voici une exposition qui en jette et qui se jette dans l’inconnu, l'anti-figuratif, et le contre-temps-porain..

    COVER GIRL du 27 janvier au 19 mars 2011, entrée libre

    La Galerie des galeries

    Art-Mode-Design

    1er étage des Galeries Lafayette Hausmann

    Prochaine expo « La Parisienne, Roman », l’appartement fictif d’une parisienne..

     

    Expo, sortie, les internautes au service des bons plans sur Qype.fr, et dans toutes les grandes villes de France

    Ou voir aussi la rubrique "Galerie d'art" de Qype

    Crédits photos : galeriesdesgaleries.fr; artespain.com; egodesign.ca; vogue.fr; etapes.com

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  • INTERVIEW DE JEAN-MARIE ROUART : LA GUERRE AMOUREUSE AURA-T-ELLE LIEU?

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    On ne présente plus Jean-Marie Rouart. Ecrivain, essayiste, journaliste accompli, membre de l’Académie Française, chroniqueur dans les media, amateur d’art, et habitué du monde. Généreux, Monsieur Rouart a bien voulu répondre à une « interview passion » autour de La guerre amoureuse. Quand la blogueuse rencontre l’académicien..

     

    LE ROMAN : La guerre amoureuse est l’histoire d’un directeur d’une revue d’art appelé en Finlande pour un congrès sur la critique littéraire. Bravant le froid et l’ennui, il est à mille lieux de prévoir que derrière la pureté des étendues blanches et glaciales se cache la passion brûlante et dévastatrice de sa vie, Helena, une jeune étudiante d’origine russe aux yeux bleu marine. Dès lors, il fera tout pour la revoir, l’avoir, l’aimer. Il subira la folie de la passion amoureuse, les assauts de son obsession maladive et des mensonges, les duperies sociales, les fourberies du monde artistique, et la tragédie de l’éloignement. Jean Marie Rouart a du style, et sait se jouer des hostilités passionnelles.

     

    L’INTERVIEW :

    Tika : Pourquoi écrire un roman d’amour ?

    Jean-Marie Rouart : L’amour et la passion sont diffus dans mes romans, notamment dans Le cavalier blessé et Avant-guerre, je voulais ici mettre la passion au cœur de l’action, la mettre en scène, et en dévoiler l’obsession.

    Tika : Qu’est ce qu’un cœur qui boîte ?

    J.M.R. : Mon héros est bancale, "un pied dans la réalité, l’autre dans un rêve inaccessible". Il reste impuissant par rapport à son rêve d’amour. Et par rapport à la passion, c’est une claudication totale !  Le propre de l’amour, c’est d’inventer quelqu’un à partir d’une base. Comme cette jeune étudiante. Le danger de la passion, c’est le retour à soi, car un être objectivé, on ne l’aime plus ! Ici, plus Helena lui fait du mal, plus il se sent exister, plus elle devient une drogue, et plus il cherche à avoir mal.

    Tika : Le mot barbelé revient, tel une sentence dans votre livre. Qu’est ce qu’une vie barbelée ?

    J.M.R. : Des barbelés, c’est une clôture avec des pointes. Et le propre des gens sensibles, c’est de se blesser sur ces pointes de vie barbelée, ils se déchirent un peu de partout, comme mes deux personnages.

    Tika : Faut-il avoir froid pour aimer ?

    J.M.R. : Dans l’amour, la dialectique du chaud et du froid revient souvent. Toutes les métaphores de la passion sont liées à des images de chaleur : une femme chaude, un amour ardent, les flammes de la passion. Ce pays froid est une métaphore de l’indifférence, du rien. Comme dit William Faulkner « Entre le chagrin et le rien, je choisis le chagrin » !

    Tika : Les mots sont-ils un personnage du roman ? Ici, ils claquent comme des coups de fouets, certaines lignes en sont même ébranlées..

    J.M.R. : Votre vision est juste, ils sont au centre du roman. Ils vivent à côté des personnages, ont leur propre histoire, et nous servent de guide. Un livre d’écrivain est un livre qui se relit, s’approfondit. Lire, c’est une promenade que l’on souhaite refaire. Ce que j’aime apporter aux lecteurs, c’est la légèreté, ce qui me plaît c’est la vérité par la beauté. Une phrase belle est toujours vraie.

    Tika : La guerre amoureuse aura-t-elle lieu ?

    J.M.R. : Oui ! Il y a tout de même deux « morts de l’amour ». La mort d’Helena, qui cesse d’exister pour lui, dès lors qu’elle s’écarte de sa vie, et sa mort à lui, qui reste un amputé du cœur, quand elle part.

    Oui, ils se sont fait la guerre, ils se sont affrontés. Des envies de la tuer reviennent à plusieurs reprises, tuer tout ce qu’elle a de propre, tuer ses démons. L’intérêt de nourrir cette pensé le fait vivre. Oui, c’est la guerre, avec ses codes : violence, passe d’armes, armistice, bagarre, traités de paix non respectés, guerilla, mensonges, et à la fin, une paix séparée. . tout en regrettant la guerre.

    Tika : Helena n’est-elle pas le fruit de son imaginaire. Serait-elle sa dépression passionnelle ?

    J.M.R. : Helena existe car elle est aimée. Elle devient un personnage mythique, un objet de culte, une déesse. Quand il cesse de l’aimer, la représentation est finie, et on se demande si elle n’a jamais existé, vous avez raison. Cette femme est un fantasme, car tout n’est qu’invention dans la vie amoureuse.

    Tika : La passion en trois mots ?

    J.M.R. : Invention - Exaltation - Souffrance.

    Tika : Qu est-ce qu’une bonne critique amoureuse ?

    J.M.R. : La critique n’a pas de place dans l’amour, car l’amour c’est l’abolition de l’esprit critique. On est dans l’irrationalité. L’idée de critique ne vient que des autres, des spectateurs de l’amour, non des acteurs, eux demeurent dans le rêve permanent.

    Tika : Est-ce qu’être amoureux, c’est se réconcilier avec soi-même ?

    J.M.R. : C’est le vouloir, mais à travers une guerre avec soi-même. On ouvre un conflit pour mieux se retrouver. Et au moment où l’on croit que l’on va se retrouver, non, on devient l’instrument de la guerre. Etre amoureux, c’est prendre un risque. C’est une quête de soi pour mieux s’explorer, tomber au fond de soi. C’est aussi un chemin vers la sagesse. Notre héros cherche l’impossible, il est bien l’archétype de l’humain, qui veut atteindre un rêve inatteignable. C’est un personnage à éclipses.

     

     

    LA RENCONTRE :  Quand la blogueuse rencontre l’académicien !

    La plume de Jean-Marie Rouart se promène sur les étangs du savoir

    comme une brise légère caresserait le cou d’un enfant au soleil

     

    C’est grâce à l’art que nous nous sommes rencontrés, au détour de mes mots si inspirés et publiés sur ce même blog, qu’il a dit si poétiques et si sensibles au sujet de la peinture de son père, le peintre impressionniste Augustin Rouart*. Des ombres bleutées et des éclats de lumière paternels, je suis entrée dans son monde bien à lui, fait de belles lettres éclairées d’art. Prix Interallié pour « Les feux du pouvoir », Prix Renaudot pour « Avant-guerre », ancien directeur du Figaro littéraire, et actuellement écrivain résidant et chroniqueur à Paris Match, il est un habitué des plateaux de télévision, et comptabilise les interviews. Cependant il a accepté la mienne. On lui avait reproché d’être un peu lisse et académique dans son essai « Cette opposition qui s’appelle la vie », lors de l’émission On n'est pas couché du 18 avril 2009. Alors Jean-Marie Rouart contre-attaque et nous livre ici un roman fait de passion et de déchirements, aux chapitres ciselés, au verbe parfois cru, qui claque, où l’encre coule à flot, dans un débit libérateur, comme le sang gonfle les veines quand l’amour déborde. Et au delà de ses mots, des peintures nous viennent à l'esprit, une barque de Claude Monet, un chemin de campagne de Camille Corot, une rue parisienne de Gustave Caillebotte, ou l’on entend tous les bruissements de la vie. Oui, entre références littéraires et picturales, La guerre amoureuse est partagée. Elle est autant déchirante de vérités humaines, qu’elle est poétique et fleurie.

     

    La guerre amoureuse de Jean-Marie Rouart, aux Editions Gallimard, 18€

    A la télévision : retrouvez Jean-Marie Rouart dans Semaine critique de Franz Olivier Giesbert ce soir, et mercredi 26 janvier dans Face aux français de Guillaume Durand, sur France 2.

     

    rouart[1].jpgEn savoir plus sur Jean-marie Rouart, ou l'Académie Française

    Le blog de Jean-Marie Rouart sur Paris Match

    Un beau reportage : La Corse de Jean-Marie Rouart sur Le Figaro.fr

     

     

    *A lire, l'article "Augustin Rouart, paysagiste du réel" :

    http://stylistika.hautetfort.com/archive/2009/10/10/augustin-rouart-artiste-peintre-et-paysagiste-du-reel.html

     Crédits photos : fnac.com ; ozap.com ; geo.fr ; academie-francaise.fr

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  • JOHN IRVING SUR FRANCE 5, UN MIRACLE !

    010953_20_1aa[1].jpgFrançois Busnel reçoit JOHN IRVING sur France 5 ce jeudi 20 janvier 2011 à l'occasion de la sortie de son dernier livre. C'est un événement! Cet écrivain très rare, un de mes préférés, est l'auteur du "Monde selon Garp", "L'hôtel New Hampshire", "L'oeuvre de Dieu, la part du Diable", ou encore "La quatrième main". Elève raté, dislexique, plus attiré par la lutte qu'autre chose, il réussit à merveille sa carrière universitaire, et devient indispensable à la littérature américaine dès le début des années 80. John Irving est un écrivain maintenant accompli, prospère et heureux, "Le Monde selon Garp" a fait sa fortune. Des adaptations au cinéma, des lecteurs passionnés, ses oeuvres sont incontournables. Que d'humour, de névroses, de mélodie, de qualités humaines dans ces lignes qui sont passionnées, de la vie, des hommes et des femmes, des ours, de la lutte, de Vienne, du New Hampshire, et de ce petit plus, qui vous tient toujours en haleine, vous fait rire et pleurer à la fois, du début jusqu'à la dernière ligne.. 

    Dernière nuit à Twisted River De John Irving, aux Editions Le Seuil, janvier 2011

    Mais qui est John Irving? Réponse ici. Crédit photo : france5.fr

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  • L'HOSROSCOPE DU THEATRE : LE CAPRICORNE

    capricorne[1].jpgChaque mois sur STYL IS TIKA, l’horoscope du théâtre. En fonction des astres et des traits de caractère du signe en cours, des recommandations théâtrales. Le Capricorne, signe de terre, perfectionniste et cependant timide aura besoin d’une petite ordonnance amoureuse..

    En ce début d’année trop de nervosité portera atteinte à vos projets amoureux. Heureusement Venus vient à votre secours. Pour vous détendre les mâchoires : Les Vocapeople, pour une expérience vocale, une autre façon d’être, au Théâtre Bobino

    Un vent d’incertitude plane sur votre couple, de plus, vous qui êtes très jaloux, n’acceptez pas que Madame sorte seule, emmenez-la voir une pièce qui parle de séduction, ça vous fera réviser : La nuit sera chaude, avec Josianne Balasko, au Théâtre de la Renaissance

    Côté activités de plein air, évitez les sports à risque, surtout le ski ! Allez savourez les numéros d’accrobatie vestimentaires, zéro risque : Arthuro Brachetti, aux Folies bergères

    Savoir freiner ses passions, c’est bien, mais quand l’amour se montre, attention. En effet, un ancien amour pourrait croiser à nouveau votre route. Pour réfléchir à ce que les filles ont en tête : L’amour, la mort, les fringues, une succession de stars, en janvier, Bernadette Lafont, Géraldine Pailhas, Karin Viard, .. au Théâtre Marigny Popesco

    En janvier, vous n’êtes pas surchargé de travail, alors vous qui êtes responsable et administratif, surveillez vos finances personnelles, sans pour autant ne penser qu’à vous, et vous repliez sur vous-mêmes, comme vous en avez l’habitude. Afin de se reprendre : Le nombril, avec Françis Perrin, à la Comédie des Champs-Elysées.

    Crédit photo : marieclaire.fr

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  • FRANCE 1500, UNE EXPOSITION MAGISTRALE

                           h2_1975.1.130[1].jpg   IMG_3[1].jpg   Fr 1500 1.jpg

     

    Au Grand Palais, France 1500 est une exposition à voir, qui se termine le 10 janvier. Son attrait est son originalité sont la valorisation de la créativité artistique de la fin du XVème siècle en France. Un moment de grâce et de charme.

    Dans un quotidien ponctué de vitesse, d’Internet, et de mobilité, il est bon de s’arrêter, et de se plonger dans l’histoire. Il y a quelques centaines d’années, l’art était un outil de pouvoir, et les célébrités étaient des peintres, sculpteurs, tailleurs d’images, ou imagiers. La vision que l’on a des arts au Moyen-âge en France est souvent fausse, elle est souvent dirigée sur la renaissance italienne, mais néglige la grandeur de la créativité artistique de notre pays. Tel est le but de l’exposition. Il s’agit de la première exposition consacrée à la période charnière constituée par le règne de Charles VIII (1483-1498), et de Louis XII (1498-1515). Période inconnue par la plupart d’entre nous, ou qui paraît non significative. La visite de l’exposition ravira même les plus récalcitrants.

    A cette époque le mécénat est religieux, royal, princier, ou bourgeois, et les arts picturaux, la peinture de chevalet, le vitrail, le livre enluminé (naissance des premiers livres imprimés), la peinture sur émail, fleurissent aux côtés de la sculpture ou de la tapisserie. Les commandes se multiplient et les croisements d’influences et de techniques prospèrent entre la France, les pays nordiques et l’Italie.

    Telle une visite de cathédrale, nous sommes invités dans une suite de salles où les œuvres presque en lévitation sortent des murs de tentures bleues, vertes, comme des joyaux hâlés de lumière toute religieuse. Ici tout n’est pas « calme, luxe et volupté », mais paix, harmonie et prière. Même si l’on est pas passionnée par cette période de l’histoire, comment ne pas être ému face aux sculptures Sainte Marie L’égyptienne, ou Notre Dame de Grâce, ou aux peintures de Jean Hey de Suzanne de Bourbon. Notre dame de Grâce a été sculptée il y a 500 ans ! Notons que l’exposition réunit pour la première fois depuis 1904 le plus grand nombre de peintures françaises de la fin du XVéme, et du début du XVIème siècle.

     

    France 1500 est une exposition en dehors du temps, où la modernité de certains visages peints est troublante, où l’on se dit que ces œuvres sont malheureusement vouées à disparaître avec le temps, si le savoir-faire des restaurateurs se perd, lui aussi avec le temps. Alors on se félicite en 2011 de pouvoir encore voir ces œuvres, magistrales et au final assez intemporelles..

    Rappel : Dans cette période allant de 1485 à 1512, c'est-à-dire en une vingtaine d’années seulement, des œuvres majeures et fondatrices sont créées : Boticelli La naissance de Vénus, Léonard de Vinci La Cène, La tenture de la Dame à la licorne, Maître de Moulins (Jean Hey) fait de nombreux portraits et rayonne à cette période.

     

    France 1500 aux galeries nationales du Grands Palais, jusqu’au 10 janvier 2011

    photo_pdt_3226[1].jpgExposition organisée par la RMN, et l’Art Institute of Chicago, elle sera présentée à Chicago du 26 février au 29 mai 2011

    Le site de l’exposition : France 1500, site très ludique avec images et vidéos.

    Le dossier à lire : N°178 Dossier de l’art, France 1500, entre Moyen Age et Renaissance. Plus d'infos sur http://www.dossier-art.com/

     Crédits photos : metmuseum.org ; rmn.fr (Notre Dame de Grâce) ; dossier-art.com (couverture du mag)

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