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Styl is Tika - Page 30

  • OFFREZ A VOTRE MAMAN UN BOUQUET DE TALENTS : ANTOINETTE FLEUR

     

     

    fête des mères, antoinette fleur, camaïeu, nodus, Les illustratrices ont la cote, c’est indéniable.

    Certaines d’entre elles valent le détour.

    Alors, de passage à Parly2  je m’improvise

    reporter d’un jour, mon objectif,

    vous faire découvrir

    Antoinette Fleur, car elle est partout !

     

     

    POETIQUEMENT FEMININ CHEZ CAMAÏEU

    Que l’on passe à côté de Nodus, chemises pour hommes, ou Camaïeu, Antoinette Fleur est à l’honneur! Illustratrice de renom, elle signe une mini collection vive et colorée pour Camaïeu. Tee-shirt orné d’un délicat visage féminin, cabas fleuri, bracelet, elle signe même la carte cadeau de la boutique, ainsi que la vitrine, véritable invitation florale pour la fête des mères !

     

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     TRES MASCULIN LATIN CHEZ NODUS

    Chez Nodus, elle a signé une série de larges stickers sur le thème du couple, la série Tango par exemple, illustrant la Saint Valentin, ainsi que des éléments de décoration de la boutique, des portraits de ces messieurs en belle chemise. Dans un style très Dolce Vita, c’est aussi tout le site Internet qui est rythmé par ses dessins.

     

    IMG00279-20110514-1311.jpg 

     

    Antoinette Fleur, c’est aussi des coups de feutres animés (découvrez ses vidéos ici). Elle sait tout faire, et sa prairie de talents dépasse l’horizon ! Quelque soit le visage dessiné, c'est toujours frais et fleuri. Elle manie aussi bien le dessin vectoriel que les bons vieux stylos et feutres. Elle dit avoir un rapport très fusionnel et apaisant avec le papier. Son style est intemporel, pur. Elle dessine tout le temps, ses superpositions de couleur évoquent nos cheminements enfantins, sorte de gribouillages infinis sur la page blanche, et ses visages féminins la grâce de Gruau. Sauf que le style Fleur est unique, il est reconnaissable parmi tous.

     

     

    082[1].jpgAntoinette Fleur est illustratrice pour Gala, elle brosse le portrait des invités de la rubrique « Hollywood comme vous et nous ». Originale, elle y ajoute toujours une touche d’humour, car elle représente les artistes accompagnés d’accessoires (ici notre cher Dr House). Elle a défilé pour le site La Fashion Week Illustrée, en rendant hommage à son couturier favori, Jean-Paul Gauthier. Elle poursuit des collaborations dans la mode, la presse, la décoration. Issue des Beaux Arts, elle a travaillé pour différents bureaux de style et créateurs de mode parisien en tant que styliste ou graphiste.

     

     

    Je rêve en secret de pouvoir me glisser dans des draps fleuris par une Fleur, et sentir le doux parfum entre rose et coqulicot jaune créé par une Antoinette qui marque son époque, aussi. A quand d'autres mini collections? 

     

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    Moi en tout cas, je soutiens les illustratrices !

     

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  • JOHN IRVING, ET AU MILIEU COULE UNE RIVIÈRE..

    twited river.jpgIl faut tout de même vous prévenir. Quand on est une fille, que l’on ne connaît pas très bien John Irving, et que l’on se plonge dans Dernière nuit à Twisted River, l'univers n'est pas très girly ! Car entre les draveurs (flotteurs de bois), les bûcherons, et la cantine de ces derniers, le premier chapitre ressemble plus à une ballade en forêt en pleine nuit style Projet Blairwitch, qu'à la sensation d’une course folle sous la pluie au bras de son amoureux ! Oui, John Irving est un mec, un dur, et il nous le prouve.

     

    Sans vous révéler l’histoire, il est ici question d’un cuisinier boiteux, Dominic Bacialuppo, et de son fils de douze ans, Danny, vivant dans le nord des Etats-Unis, au pays des bûcherons (on l’aura compris). Leur protecteur est Ketchum, sorte de roc tout droit sorti de la forêt, ayant la bouteille pour maîtresse, mais un sens aigu de la loyauté en amitié. Un accident va les embarquer pour cinquante ans de dérive, rythmée par le souvenir de la torrentielle et malveillante Twisted River. Fuite, rencontres, amour, deuils, amitiés, comment mener sa vie quand le destin vous rattrape sans cesse ?  

     

    LE BAISER DU LOUP


    Dernière nuit à Twisted River est bien plus qu’un roman d’hommes, d’ours, de chiens, et de vengeance. C’est un conte philosophique sur le destin, la transmission, la filiation, l’amitié, la peur, un formidable hommage aux "professionnels du bois" et au métier d’écrivain (Danny, l’alter ego de John Irving ?) et aussi un regard sans concession sur cinquante ans d’histoire américaine. C’est aussi une ode à la cuisine, car John Irving adore cuisiner. Beaucoup de détails sur les autobiographies de ses propres romans truffent le récit, tout comme des jeux de mots sur leurs titres. C’est le douzième roman de John Irving, peut être le dernier ? Qui sait ?

    Le monde selon Garp, L'oeuvre de Dieu, la part du diable, ou encore L'épopée du buveur d'eau, ou l'hôtel New hampshire sont des romans qui vous "embarquent", alors, en ouvrant celui-ci, j'avais envie d'être bousculée, aspirée au fin fond de l’Amérique, et de rire. Or, je ne sais pas si c’est l’âge, la nostalgie, ou la lassitude, mais j’ai peu ri, ai été bousculée, mais pas dans le bon sens. Par exemple, la mort de certains personnages est traitée de façon secondaire, alors qu’elle devrait être amenée de manière plus subtile. Ce qui donne l’impression d’être dépassé par l’aventure, et les effets narratifs. Dommage. Il nous a toujours surpris par le passé, ici un peu moins. Mais l’odyssée de ce petit cuistot, fin gourmet, dans cette Amérique inconnue est pleine de surprises, et sa vie épique vous hante, bien après avoir tourné la dernière page. La recherche du père est un thème décidément cher à Irving. De ce point de vue, le roman est très réussi.

    La plume d’Irving est toujours vive, très documentée, voire sur-documentée, l’orchestration de l’histoire est parfaite jusqu’à la dernière ligne, Irving est toujours virtuose dans les chassés-croisés, les sauts dans le temps, et s’amuse avec son lecteur. Comme toujours il écrit la fin du roman en premier, et cela se voit ! Un roman presque parfait.

     

    "Javais un boulot dans les bois du grand nord

    pendant un temps j'ai bossé comme cuistot

    mais ça ne me plaisait pas trop

    et un jour, la hache est tombée"

    Bob Dylan, Tangled Up in Blue 

     

    Dernière nuit à Twisted River, aux Editions Seuil, 22,80€

     

    Lire aussi mon post sur John Irving à la Grande Librairie : "John Irving sur France 5, un miracle!"

     

    Et si vous aimez le cinéma, comme moi, et John Irving, lisez donc ce livre méconnu, sous forme de récit, sur son rapport avec la caméra, les adaptations de ses films, un regard très personnel, un livre pour les passionnés, bourré d'anecdotes : 

    Mon cinéma, de John Irving, aux Editions Seuil, paru en 2003 

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  • PINA BAUSCH, UNE HISTOIRE D'AMOUR

                               606_2_spielplan.jpg   17_2_pina_bausch_krueger.jpg  250px-Pina_Bausch.jpg

     

    Quand Wim Wenders prend sa caméra pour rendre hommage à Pina Bausch, c’est une explosion sensuelle, visuelle, et presque olfactive. Un voyage à travers le geste à la vitesse de la lumière.


    "DANSEZ DANSEZ, SINON NOUS SOMMES PERDUS"

    Nous sortons tous du cinéma, sans voix, le souffle coupé ! Comment ne pas l’être ? Il reste difficile de mettre des mots pour décrire cette expérience cinématographique. Ce n’est ni un film, ni un docu, ni un ballet filmé. C’est un cri du corps venant d’une troupe endeuillée, sous l’œil bienveillant d’un cinéaste en quête de vérité. Pina Bausch n’est plus depuis 2009, et ses élèves demeurent d’inconsolables orphelins. Que dire, lorsqu’on a dansé avec la même personne pendant 22 ans ? Que l’on a passé ses nuits, ses jours à sans cesse répéter les mêmes gestes, à réinventer le mouvement, à créer de la poésie sur des parchemins de peau ?

     

    220px-Cravos01.jpgEST-CE DE LA DANSE, DU THEATRE ?

    Tout le monde connaît Pina Bausch, et depuis les années 70 a vu ses chorégraphies répétitives et enfiévrées synonyme du mouvement « Tanz Theater », le théâtre dansé de Wuppertal en Allemagne. Mais d'’où vient cette magie du film? L’histoire de la scène dans la scène suggérée par la caméra de Wim Wenders, la bande son magistrale, la chorégraphie jouée plus que dansée, et l’humour jusque dans le geste, l’émotion de découvrir le visage de chaque danseur de la troupe donnant sa version de Pina, en voix off, dans l’émotion et la sincérité, je ne sais pas. En tant cas, tout est sincère, pur ; la 3D ajoute une « profondeur » indescriptible aux scènes, et nous emporte loin, très loin de notre terre, pour un voyage vers les étoiles !

     

    header.jpgL’on pourrait rebaptiser certaines scènes, « un tramway nommé désir », ou « cabaret », ici il s’agit, scène après scène de donner une interprétation de ses meilleurs ballets, le si sensible « Café Müller » (repris par Almodovar dans « Parle avec elle » en 2001) en est l’illustration. Est-ce la danse, est-ce le théâtre, qui sait ? En tout cas, ces fabuleux danseurs venus du monde entier partager la vie de Pina Bausch, jeunes, ou plus âgés, ont tous un point commun, leur beauté ! Ils nous interprètent par le corps les chorégraphies de l’amour, la liberté, la lutte, le désir, la joie, le désespoir, la réconciliation, la beauté, la force. Notons l’extraordinaire numéro de biceps (à la fin de cette bande annonce) qui nous touche tant, représentant le thème de la force. Ou bien la scène "godzillesque" dans le tram aérien, juste loufoque, juste parfaite. Tous ces moments de danse filmés dans la ville, en zone industrielle, instants de grâce dans un monde de brutes, et c'est peu dire, sont le guide de l'hommage de Wenders. Une confrontation de l'humain avec la matière. Ou encore le son de la pluie sur un rocher, et les nageurs danseurs en chemises noires, la grâce dans dix centimètres d'eau ! Il paraît que Pina passait des heures à connaître ses danseurs, à partager avec eux, à en déchiffrer le « code » personnel pour mieux adapter et créer le mouvement sur-mesure. Nous le comprenons mieux aujourd’hui à la lumière de W. Wenders. Elle aurait adoré le résultat. Elle est partie trop tôt.

     

    Jun Miyake a signé le morceau « Aliverde » de la bande annonce. Cela nous donne l’occasion de découvrir son album « From stolen strangers ». Même si votre univers n’est pas lié à la danse, ce film en fera une découverte, allez-y les yeux fermés, Pina se chargera de vous les ouvrir. Pina Bausch nous enseigne qu’il y a toujours une place pour la danse en nous, que le corps est un instrument, un messager, ce que nous oublions tous, dans cette vie citadine. Sous l’œil de Wim Wenders, elle nous donne « Des ailes du désir ».


    pina-de-wim-wenders.jpg

     

    Plus d'infos en français sur Pina Bausch ici.

     

    Crédits photos : Pina Bausch 1940 – 2009 : Wilfried Krüger, Clémentine Deluy in Bamboo Blues Foto: Angelos Giotopoulos, Pina Bausch (au centre) et Dominique Mercy (à sa droite) à la fin d'une représentation de Wiesenland en 2009, Nelken - Les Œillets (1982) de Pina Bausch en 2005. 

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  • POUR PÂQUES, CROQUEZ L'ART !

    Genin Patch[1].jpgVous aimez le chocolat, et l’art, alors pour Pâques, vous serez fan des œufs d’art de Jacques Genin, signés Mark Alsterlind. Mais au-delà d’une simple collaboration thématique, découvrons un concept qui fait mouche : « Eat the paint ».

     


    Mark Alsterlind a un nom qui finit en « Lind », il était sans doute pré destiné à collaborer avec un grand nom du chocolat. Il signe pour Jacques Genin des œufs peints à la main, modèles uniques d’une série limitée. Le prix est à la hauteur du talent, mais que ne ferait-on pas pour l’art !  Il est américain, diplômé d’une école des beaux arts américaine, et vit en France depuis 20 ans. Il est représenté par des galeries du sud de la France, et aux Etats-Unis, et donne des cours à l’université de Nîmes. En auscultant son site Internet, un concept attire notre attention : « Eat the paint », ou comment manger la peinture !  Un site très cacaoté nous dévoile une idée intéressante : l’association d’un peintre avec un pâtissier pour réaliser des œuvres en chocolat en direct lors d’événements sur-mesure, en team building en entreprise, ou encore au cours d’ateliers pour enfants.

    La passion du chocolat a l’air de dévorer ces experts en art alimentaire, qui aiment partager. Et le public répond, très « In the mood for cacao ». Il paraît que ces ateliers transforment votre humeur, et ont un pouvoir magique. C’est comme le bon vin, le cacao enivre. Mark Alsterlind fait partie des artistes qui aiment partager leur art et mêler non pas l’utile à l’agréable, mais l’art à l’agréable ! Alors, à défaut d’en acheter, allons contempler les œufs chez Jacques Genin, et peut-être mettre un peu de friture dans notre week-end..

      

    La Chocolaterie de Jacques Genin, 133, rue de Turenne, 75003 Paris

    En savoir plus sur Jacques Genin ici.

    Crédit photos : Bruno Vergus

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  • Dans le bureau de Charlotte Perriand

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    Charlotte Perriand, grande prêtresse de l’architecture d’intérieur moderne, a vécu 96 ans, sa vie a parcouru tout le XXème siècle, étant née en 1903. Au Petit Palais, voici une expo qui donne le vertige, elle se veut biographique, elle est empirique. Elle ouvre le spectre. Charlotte Perriand, créatrice, illustratrice, designer, et le plus important, photographe. La femme au centre de l’œuvre !

     

    L’habitat minimum, la recherche en dessin et architecture industriel, aménagement et équipement collectif, son travail est protéiforme, et d’une modernité intemporelle.

    charlotte perriand, petit palais, jacques barsacUne heure de vernissage avec Charlotte Perriand, ou comment visiter son monde en accéléré !

    Nous voici au cœur de sa créativité : la photo, qui a structuré, inspiré son travail. Nous démarrons avec un parcours du mobilier posé en « résonance » avec les collections permanentes du musée, qui est un peu incongru, l’expo dans l’expo n’étant pas aisée à parcourir, on s’arrête cependant sur ses collages, notamment les plus symboliques, comme ceux réalisés avec Fernand Léger pour le pavillon du ministère de l’agriculture à l’exposition internationale de 1937. N’oublions pas que C.P. était une femme engagée aux côtés du Front populaire, et que le photomontage qu’elle invente l’aide à exprimer ses idées engagées.

     

    Le hall Jacqueau est le cœur de l’expo, les photos de C.P. sont mises en valeur, notons sa période japonaise, présentée en vitrine comme un petit cabinet de curiosités, émouvant et ravissant. Cette partie présente quatre thèmes, tous fondateurs dans son oeuvre : la démarche constructive ; l’objet trouvé dans la nature ou "l’art brut" ; la montagne ; l’arbre et la terre. Ce qui frappe, c’est de voir une série de bibliothèques et mobiliers de rangement très fonctionnels, fer de lance d’une grande marque suédoise bien connue ! Sauf que les matériaux sont plus nobles ! Charlotte Perriand a travaillé dès sa vingtaine pour l’atelier d’architecture Le Corbusier, et Pierre Jeanneret. Toutes les œuvres issues de ce cabinet ont influencé le travail d’une multitude de designers dans le monde. Ce qui frappe aussi c’est la modernité de ses créations. Effet de mode, mise en scène soignée, les années 30 rejoignent les années 2010.

    11_Table_Eventail_1972cAChP_ADAGP2011_[1].jpgLa partie sur « l’art brut » est très esthétique et très révélatrice de l’influence réciproque entre Fernand Léger, Le Corbusier, et Charlotte Perriand. Il s’agit de photos d’objets trouvés dans la nature, crâne d’oiseaux, bois flotté, pierres érodées, les leçons de la nature influencent sa création, dès les années 30, elle ajoute le bois à la palette de ses matériaux et crééles tables « forme libre », asymétriques. Dans son atelier de Montparnasse, elle photographie ses objets sur des fonds noirs, et leur donne un statut d’œuvres d’art. Mère nature célébrée, c’est une nouvelle attitude à l’époque.

    Des photos de son intérieur, des meubles créés pour son espace privé ornent le hall. Une impression « d’étalage » des objets de sa vie nous traverse. Car on y trouve aussi des photos buste nu, face aux montagnes (la photo d’illustration du dépliant de l’expo !). Femme libérée, oui. Aurait-elle aimé cette façon d’exposer sa vie ? Telle est la question.

     

    charlotte perriand, petit palais, jacques barsacUn espace Cassina clôture l’expo, éditeur des meubles Charlotte Perriand. Des fauteuils « grand confort » réédités sont mis à disposition du public, permettent de se relaxer. On peut même entendre des soupirs de contentement dès que les visiteurs s’asseyent !

     

     

    Charlotte Perriand était une femme de caractère, très sportive, athlétique, inspirée, vivante et vibrante. Toute l’exposition transpire de cette énergie débordante. Ses photos, dessins, mobiliers, nous présentent La femme créatrice, plutôt que le designer.  On a une impression d’intimité, de proximité durant ce voyage très actuel. Or c’était il y a 80 ans !

     

    Charlotte Perriand, 1903-1999 - De la photographie au design

    Musée du Petit Palais, Paris - Du 7 avril au 18 septembre 2011

    Exposition réalisée en collaboration avec le Musée Nicéphore Niépce, le Museum für Gestaltung Zürich et les archives Charlotte Perriand.

     

    A voir : Son ultime création de 1993, "La maison de thé" est reconstituée au Bon Marché, une bonne idée pour clôturer votre visite. Du 9 avril au 11 juin 2011.

     

    9788874395491[1].jpgA lire : Les oeuvres de Jacques Barsac, commissaire de l’expo, sur son œuvre comme « Charlotte Perriand, un art d’habiter », paru en 2005. Mais surtout le très bel ouvrage « Charlotte Perriand et la photographie, l’art en éventail », qui vient de paraître.

     

     

     

     

    Crédits photos : centre georges pompidou.fr expo de 2006, Charlotte Perriand, 1974. Photographie Pernette Perriand-Barsac et Jacques Barsac/AChP © AChP 2005 ;  © F.L.C. / Adagp, Paris 2007

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