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Styl is Tika - Page 36

  • POUR NOEL OFFREZ-VOUS AVATAR, ET LA DECO QUI VA AVEC !

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    Moi, pour Noël je veux le DVD Avatar, et faire la déco qui va avec ! Pourquoi ? Parce que c’est tendance et que j’adore le cinéma et la déco. Le fluo est à la mode, profitons-en.

    Optons donc pour un Noël Bleu et vert! Pour la table, une nappe lumineuse, pour les chaises, idem, pour la cérémonie officielle du 25 décembre au pied de "l’arbre de vie", on prendra un sapin blanc que l’on décorera en bleu. Et au lieu de se dessiner des moustaches de chat, et de se peindre le corps de zébrures bleues (fait trop froid de toute façon), on optera pour un joli maquillage fumé bleu nuit, et on choisira une tenue de fête noire et bleue, comme une petite robe version panthère bleue (à la Katy Perry), et vive les cocktails au curaçao pour l’apéro! Les leds permettent un comportement plus écolo, et de nouveaux effets déco, alors optons également pour des plantes lumineuses. De toute façon, la lumière faiblit dès 16h. Suite de la sélection ci-dessous.

    Oui, Avatar la version longue. Mais pourquoi, alors que je l’ai vue deux fois au cinéma en 3D ? Parce que j’adore cet univers*, mais surtout pour voir les 6 minutes supplémentaires de film et les 45 minutes de bonus ! James Cameron fait plus que des films, sur le site officiel avatar le film, il crée le projet "Arbre-Maison", qui vise à faire planter un million d'arbres de part le monde. Il milite aussi avec les acteurs du film pour sauvez des tribus amazoniennes, et leur forêt, c'est le projet "Un message de Pandora". Oui Avatar est une fable écologique, un spectacle, mais bien au delà une philosophie de vie, enfin pour ceux qui veulent y croire. Je vous invite donc à relire mon post sur le film*, et de vous inspirer de ces quelques suggestions pour un Noël différent et féerique.

    * lire mon post du 31.12.09 "Avatar, plus qu'un film, une expérience"

              tissu_lumineux_9[1].jpg fauteuils_lumineux[1].jpg plante(1)[1].jpg nappe(1)[1].jpg

    Crédits photos : Robe Katy Perry  : photo fanpop.com, robe de Blumarine.com ; Avatar sur Avatarlefilm.com ; Sapin  : Truffaut.com, déco et vêtements en tissus lumineux, plantes en fibre optique : eclipss.com

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  • LES VIES PRIVEES DE PIPPA LEE, UN FILM ENCHANTEUR

    allocine pippa lee.jpgRobin Wright Penn a un talent fou. Dans Les vies privées de Pippa Lee, de Rebecca Miller, diffusé ce soir sur Canal + Cinéma, elle est à la fois sensible, douce, mais aussi fière, sensée, et piquante. Elle est la fleur de cactus, belle à regarder, peut-être plus difficile d’accès.


    Voici une merveilleuse pépite du cinéma américain, émouvante, drôle et grave à la fois. Regardez donc ce film, si vous l'avez raté, comme un cadeau. Ce film a un charme fou, un esthétisme fort, un tempo humain particulier. On entend battre le cœur de Pippa pendant tout le film, que l’on voudrait sans fin, tant on s’installe dans la vie de cette femme si touchante. Elle a cinquante ans, se retrouve isolée en banlieue et ses enfants sont grands, elle fait des cauchemars et des crises de somnambulisme, et s’interroge. Elle se rend compte qu’elle a voué sa vie à ses proches, mais qu’elle s’est peut être un peu oubliée sur le chemin. Pippa parait si lisse, si gentille, si prévenante, un peu Potiche, certainement pas à la Ozon. Mais qui est-elle?

    Potiche, mais pas que..

    Elle s’interroge, son mari âgé et malade (Alan Arkin) est-il celui qu’elle croit, pourquoi sa fille ne lui adresse-t-elle plus la parole, pourquoi cette voisine a quelque chose qui cloche, pourquoi refaire ce même gigot tous les dimanche pour ses amis? Elle ouvre les yeux sur les gens, sur sa vie. Et une suite étourdissante de flash back et d’événements du quotidien vont nous emmener vers la véritable Pippa, pour nous révéler ses vies privées, ainsi que celles de ses proches. Et personne n'est blanc comme neige !  Surtout pas elle-même, qui a un passé lugubre et décadent. C’est un film choral, et un portrait de femme à la fois, un chassé-croisé poétique, et un tableau de maître, porté par la voix off de Pippa . De très beaux seconds rôles l’entourent comme Wyona Rider (de retour), avec un numéro de névrosée hystérique jubilatoire, une Julianne Moore en homosexuelle peace and love désarçonante, et un Keanu Reeves, en bad boy énigmatique et désaxé. Et une surprise comme Monica Belluci ! On pense à Magnolia, avec la même Julianne Moore de Paul Thomas Anderson, et à Robert Altman aussi, sans oublier Forest Gump, où Robin Wright était juste éblouissante. Mais ici Rebecca Miller nous envoûte ; toute l’intensité des drames personnels présents et passés de Pippa se trouvent concentrés dans le regard d’une seule femme, les yeux bleus de Robin Wright Penn infiniment profond sondent notre propre identité de femme, et nous font réfléchir. Qu’avons-nous fait de nos 20 ans? Sommes-nous si bien entouré? Quelle vérité relationnelle choisir?

     

    IMAGE-GAUCHE_Robin_Wright_Penn_Gamma[1].jpgLes vies privées de Pippa Lee, de Rebecca Miller, est sorti sur les écrans le 11 novembre 2009. Ce soir à 20H35 sur Canal+ Cinéma.

    Avec Robin Wright Penn, Keanu Reeves, Alan Arkin, Julianne Moore, Wynona Rider, Monica Bellucci, Blake Lively (remarquable en Pippa jeune), Mike Binder ( troublant à souhait en faux-ami)

    Crédit photos  : allocine.fr ; madamefigaro.fr



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  • L'HOROSCOPE DU THÉÂTRE : LE SAGITTAIRE

    vwiytp9v[1].jpgL’horoscope du théâtre est une nouvelle rubrique de STYL IS TIKA, où nous proposerons des sorties théâtre au signe du mois. Ce mois-ci, le sagittaire.

    Le Sagittaire est un chercheur et un sage, il n’est pas très heureux ces derniers temps, épris de liberté, il adore voyager, mais les grèves d’octobre et maintenant la neige et le verglas malmènent ses projets. Il aime le rouge, adore les rideaux, alors donnons-lui quelques idées de sorties théâtre en accord avec sa personnalité, et avec ses moon boots !

     

    Il aime voyager. Conseil : Hors piste aux Maldives, à partir du 18 janvier au Théâtre Fontaine. Quand une troupe d’amis passe du chalet et des retrouvailles, à l’île et aux règlements de compte ! La suite de Hors piste d’Eric Delcourt (voir mon post "Hors piste, ça descend" du 11.10.2010)

    Il n’aime pas la routine quotidienne. Conseil : Les Echos Liés, au Palais des Glaces, une troupe d’acteurs-danseurs hors du commun, vainqueurs de la France a un incroyable talent 2009

    Il est orgueilleux, et manque de tact. Conseil : Le Président, sa femme et moi, au théâtre La grande Comédie. Ou comment l’arrivée du sosie du Président va chambouler la vie à l’Elysée.

    Il se méfie du mariage. Conseil : Chantal Ladesou, à Bobino. La vie d’une femme mariée depuis trop longtemps, c’est la guerre !

     

    Cette semaine, avec Uranus, une nouvelle rencontre pourrait l’émoustiller. Mais avant, notre conseil est de suivre la formation Les hommes viennent de Mars les femmes de Venus, avec Paul Dewambre. au théâtre du Gymnase (voir mon post  "Parlez-vous martien?" du 30.06.1009).

    Rendez-vous le mois prochain avec le Capricorne ! 

    Crédit photo : simplythebest.net

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  • Le ciel peut attendre, mais pas Georges !

                       Nespresso-1].jpg    lecielpeutattendrimageshack.us[1].jpg    nespresso G.jpg     

      

     

    Nespresso nous gâte une fois encore avec un spot TV savoureux, où George Clooney est encore rattrapé par l’Eternel. Oui Dieu tolère que George revienne sur terre, mais il ne peut se passer de ses capsules, et le fait savoir. Mais savez-vous de quel film est inspirée cette saga « Heaven » ?

     

    Mon intuition de cinéphile me dit que c’est au film Le ciel peut attendre, Heaven can wait de 1978 de et avec Warren Beatty, et Julie Christie, que l’on doit cet hommage malicieux. Non pas à la version de Ernst Lubitch, sortie au début des années 40, où le héro se présente spontanément à un diable hésitant, et finit par lui raconter sa vie. Ici, les œillades de George Clooney sont de son cru, mais aussi largement inspirées de celles de Warren Beatty. Quant à la prestation de John Malkovitch, c’est un Dieu compréhensif mais très spirituel interprété par James Mason, qui lui souffle sa diction et sa présence ! L’acteur J. Malkovitch ajoute cependant sa touche personnelle, comme vous pouvez le constater dans le trailer ci-dessous. Je vous offre la version longue du premier spot Heaven, qui n’est pas passé à la TV. La ressemblance est incroyable ! Quel bel hommage à ce film touchant et qui a reçu à l’époque de nombreux Golden Globes.

     

    Le ciel peut attendre, c’est l’histoire d’un joueur professionnel de football américain qui meurt soudainement. Or, arrivé au Paradis, il est persuadé que ce n’est pas son heure, et persuade Dieu de le renvoyer sur terre. Son corps ayant déjà été incinéré, c’est dans la peau d’un riche homme d’affaire qu’il réapparaît sur terre. La suite oscille entre comédie romantique et surnaturel. Bien entendu, notre héro n’a pas de répit, et frôle à nouveau la mort. Il essaye de regagner le cœur de sa bien aimée. Mais est-ce facile de montrer son cœur, alors que l’on a changé de visage ? Il essaye de reprendre contact avec son entraîneur, mais est-ce facile de faire admettre l’impossible, la réincarnation ! J’ai vu le film il y a assez longtemps, mais il reste très présent dans ma mémoire, et c’est avec un plaisir immense que je savoure ces publicités Nespresso. Le dernier spot « Nespresso Cab driver » est encore plus explicite et humoristique que les autres quand le chauffeur de taxi, Dieu, en cruel manque de café, pourchassant George, clame « Le ciel peut attendre, George, mais pas pour ses capsules ! ». Et George remet toutes ses capsules..

     

    Non, George, tu te dois d’évoluer. Tu te méfies encore à ta sortie de boutique, scrutant le ciel en quête d'un hypothétique piano! George, tu dois apprendre qu’une deuxième chance, ça se mérite, qu’il ne faut pas garder tes capsules pour toi, mieux encore, tu dois les recycler ! ! ! Warren Beatty doit jubiler devant sa télé.. car, là, on pousse la capsule vraiment loin..

     

     Crédit photos : allocine.fr;data-allocineblogomaniac.fr

     

     

    La version longue du spot "Heaven", attention humour ravageur ! 

     

     Trailer  Le ciel peut attendre avec Warren Beatty

     

     

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  • OSONS LA POTICHE !

    potiche_intro_famille[1].jpgPotiche, de François Ozon est avant tout la formidable adaptation de la pièce de théâtre du même nom, jouée en 1980 par Jacqueline Maillan ! Et si vous ne le savez pas, vous serez bien incapable de savourez les répliques, reprises au mot près. Le théâtre de boulevard au cinéma, il fallait oser !


    Mais Ozon ne porterait pas son nom s’il n’osait pas à chacun de ses films.


     Le burlesque maîtrisé et le boulevard réactualisé

     Le pari est réussi, nous sommes bien en 1977, à l’aube des années 80, dans la bourgeoisie provinciale du nord de la France, et ça se voit : téléphone recouvert de velours, papiers peint orange, jogging rouge, et transistor baladeur, et gestuelle d’époque. Nos parents nous diront que c’est une perfection de reconstitution, que l’on s’y croirait, une petite larme de nostalgie s’égarant sur leur joue. Et on est d’accord. Le film de ce fait est très enveloppant, et vous donne une sensation de confort incroyable. Ici, le kitch est banni, nous sommes dans autre chose ! Le décor est un acteur en soi, peut être même le premier rôle. Cette multitude de détails soignés fait souvent rire ou soupirer la salle..


     Caricatures et baisers volés

    Suzanne Pujol, femme traditionnelle au foyer, est la « potiche » de la famille, à laquelle elle est dévouée et qui le lui rend mal. Robert Pujol, son mari, despote, et cruel, dirige sa famille et l’usine familiale d’une main de fer. Jusqu’au jour où il est pris en otage par les syndicalistes, et que la grève est déclarée. Sa femme prend alors les choses en main, et rien ne sera plus comme avant.

    Catherine Deneuve, ouvre son parapluie de talents, en nous offrant un rôle de composition qui frôle la perfection. Tout comme Alain Delon dans Astérix, elle se parodie, et c’est un régal. Le personnage de Suzanne Pujol lui va comme un gant, et l’on est loin de la touche Jacqueline Maillan. Elle est plus souple, et plus subtile. Ici, elle nous mène par le bout du nez, une héroïne aussi fantasque que faussement soumise. Fabrice Luchini* incarnant Robert Pujol (le vrai prénom de l’acteur, et très beau en barbu!) est un menteur professionnel, ressemble à Gru, de Moi, moche et méchant, détestable, exactement comme on l’aime, à la bonne température. Là aussi, par rapport à la pièce (j’en ai visionné au moins 20 minutes sur You Tube !), il paraît plus grinçant, moins dupe, plus glacial que Jacques Jouanneau. Malgré tout, il est le nouveau Desperate Houseman! Karin Viard, rayonnante, et prodigieuse, est Nadège, la secrétaire maîtresse manipulée et néanmoins conquérante. Les enfants, Jérémie Renier en Laurent Pujol, sosie à couper le souffle de Claude François (notons le pantalon si bien serré), et Judith Godrèche, en une Joëlle Pujol au brushing Farrah Fawcett, sont excellents, et investis. Quant à Depardieu, en Maurice Rabin, Maire socialiste, est monumental, d’un bloc, efficace, et très touchant. Le couple Deneuve-Depardieu fonctionne, et nous évoque de doux souvenirs. Fort Saganne, ou Le dernier métro défilent à nouveau dans nos esprits, et leur complicité explique qu’une certaine jeunesse plane soudainement sur leurs visages en cette année 2010. Certaines critiques ont parlé d’un Ozon manipulant ses acteurs comme des marionnettes, et focalisant sur son propre plaisir, et bien non, il s’agit là d’une pièce de théâtre, et d’une scénarisation de personnages forts, complexes, et surtout volontairement caricaturaux. Potiche est à déguster au 10ème degré, chers spectateurs ! Ne vous limitez surtout pas au vernis bourgeois, plongez dans la révolte cinéphile, et ouvrez les yeux sur cette réactualisation rétro très audacieuse, de la vie patronale et syndicale ! Quelle chance et heureux hasard de sortir ce film après les manifestations d’octobre 2010, avant les élections de 2012, bref en pleine pression sociale, quel timing magique pour le réalisateur ! Ceci lui donne encore plus d’aplomb, et de modernité. Ceci nous rappelle aussi que les français n’ont pas changé en 30 ans !

     

    La femme, toute puissante, est le pôle central du film. Ozon, comme d’habitude  fait une ode à la femme. Elle est l’auteur de sa propre révolution, et filmée de près. Deneuve donne à Madame Pujol un peu de toutes celles qu’elle a été à l’écran, et ceci la rend d’autant plus forte et émouvante à la fois.

     

    La potiche n’est pas celle qu’on croit. Dans certains couples, cette femme existe, mais de qui est-on la figurante, de soi même, de l’autre ? Les auteurs et Ozon prennent le pari, comme Hitchcock, de mettre cette Suzanne, personne ordinaire, dans une situation extraordinaire, et ça fonctionne, elle se surpasse. On est peut être que la potiche de soi, par facilité, acceptation, abnégation sociale. Une dernière question : si la pièce avait été jouée par Deneuve et Depardieu, l’auriez-vous vue ?

     

    3550460018611[1].jpgPotiche, de François Ozon, d’après l’œuvre de Pierre Barillet et Jean-Pierre Grédy. La pièce de boulevard a été jouée plus de 500 fois en 1980, avec Jacqueline Maillan. Danièle Darieu a repris le rôle de Suzanne Pujol lors de la tournée nationale.

    Voir le site officiel de François Ozon, très complet sur le film, le comment , le pourquoi, les acteurs, bref, tout ! 

     

    Quel succès, après 2 semaines d'exploitation, Potiche compte 1 444 825 entrées (source françoisozon.com)

     

    * Lire mon post du 15.10.10, rubrique théâtre "Fabrice Luchini, ou l'art du brushing verbal"

     

    Mes films préférés de François Ozon :

    Sous le sable, avec Charlotte Rampling

    Goutte d’eau sur pierres brûlantes, avec Bernard Giraudeau

    Huit femmes, avec Catherine Deneuve

    Potiche, avec Catherine Deneuve

     

    BONUS : 

    Best off Potiche :

    La formidable scène à l’atelier de création des parapluies dans l’usine, où les motifs Courège nous rappellent Les parapluies de Cherbourg avec une grande nostalgie

    Le plaidoyer de Karin Viard, militante féministe révélée, face au couple Deneuve-Luchini au bureau.

    Les balayages de la main de Judith Godrèche de ses mèches blondes décolorées

    La danse Deneuve-Depardieu dans la boîte de nuit, ou tout simplement les œillades de Depardieu envers celle qu’il a aimé !

    Bruno Lochet (Les Deschiens), en délégué CGT, portant la moustache et le strabisme divergeant comme personne !

    Elodie Frégé incarnant Suzanne Pujol jeune, une belle petite surprise de fraîcheur..

    Le remix du discours politique de Suzanne Pujol, à la façon de Ségolène Royal, un grand moment.

     

    La réplique de Robert Pujol : « Je ne te demande pas d’avoir un avis ma chérie, mais de partager le mien, et c’est déjà beaucoup ! »

     

    Ce que dit Depardieu de Deneuve, (Ozon ne s’est pas trompé) :  

    « J'ai lu dans un sondage que tu étais la maîtresse rêvée des Français. Je sais qu'il y a des légendes qui courent autour de nous, que l'on phantasme sur notre couple depuis "Le dernier métro". Il y a un interdit entre nous. Tu es une idole bourgeoise et racée ; je suis un fils de paysan aux mains fortes, avec toute sa santé. Dans le film de François, tu te donnes brutalement à moi, sans pudeur, par terre, comme seules sont capables d'oser les femmes bien éduquées. Toi et moi, c'est presque une conquête sociale, la chance pour un gars de la terre un peu rustre d'être aimé par la plus belle femme du faubourg Saint-Germain. C'est la prise de la Bastille de l'amour ! ».  

    Gérard Depardieu, Livre "Lettres volées" 1988 (source : Toutsurdeneuve.free.fr)

     

    Crédits photos : francoisozon.com ; fnac.com

     

     

     

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