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TVTika - Page 3

  • AVEC BARILLA, L'ENVIE EST LA !

    Nouvelle rubrique sur Styl is Tika, Style & Glam, un oeil sur tout ce qui a du style. Nous revenons au fondement de ce blog, le style et les arts. Ici la dernière publicité des pâtes Barilla "La vie est prête", d'une extraordinaire fluidité, nous propose un voyage visuel à couper le souffle, un aperçu de la Dolce vita (la vie douce) à l'italienne. C'est une évocation des 5 sens, des 5 éléments, et un scénario sensible. La vie est aussi simple que la préparation de pâtes. Une vie qui ne vaut rien, sans bouillir, sans eau, sans allumer le feu, sans matière, sans liens, sans remuer, et sans un petit plongeon, donc un soupçon de risque. Une merveilleuse leçon de style, et d'envie. Des pâtes rapidement préparées, une sauce prête à l'emploi, certes, mais comme la vie est longue avant de trouver la bonne recette ! Avec ce spot, Barilla donne le "La".

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  • Le ciel peut attendre, mais pas Georges !

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    Nespresso nous gâte une fois encore avec un spot TV savoureux, où George Clooney est encore rattrapé par l’Eternel. Oui Dieu tolère que George revienne sur terre, mais il ne peut se passer de ses capsules, et le fait savoir. Mais savez-vous de quel film est inspirée cette saga « Heaven » ?

     

    Mon intuition de cinéphile me dit que c’est au film Le ciel peut attendre, Heaven can wait de 1978 de et avec Warren Beatty, et Julie Christie, que l’on doit cet hommage malicieux. Non pas à la version de Ernst Lubitch, sortie au début des années 40, où le héro se présente spontanément à un diable hésitant, et finit par lui raconter sa vie. Ici, les œillades de George Clooney sont de son cru, mais aussi largement inspirées de celles de Warren Beatty. Quant à la prestation de John Malkovitch, c’est un Dieu compréhensif mais très spirituel interprété par James Mason, qui lui souffle sa diction et sa présence ! L’acteur J. Malkovitch ajoute cependant sa touche personnelle, comme vous pouvez le constater dans le trailer ci-dessous. Je vous offre la version longue du premier spot Heaven, qui n’est pas passé à la TV. La ressemblance est incroyable ! Quel bel hommage à ce film touchant et qui a reçu à l’époque de nombreux Golden Globes.

     

    Le ciel peut attendre, c’est l’histoire d’un joueur professionnel de football américain qui meurt soudainement. Or, arrivé au Paradis, il est persuadé que ce n’est pas son heure, et persuade Dieu de le renvoyer sur terre. Son corps ayant déjà été incinéré, c’est dans la peau d’un riche homme d’affaire qu’il réapparaît sur terre. La suite oscille entre comédie romantique et surnaturel. Bien entendu, notre héro n’a pas de répit, et frôle à nouveau la mort. Il essaye de regagner le cœur de sa bien aimée. Mais est-ce facile de montrer son cœur, alors que l’on a changé de visage ? Il essaye de reprendre contact avec son entraîneur, mais est-ce facile de faire admettre l’impossible, la réincarnation ! J’ai vu le film il y a assez longtemps, mais il reste très présent dans ma mémoire, et c’est avec un plaisir immense que je savoure ces publicités Nespresso. Le dernier spot « Nespresso Cab driver » est encore plus explicite et humoristique que les autres quand le chauffeur de taxi, Dieu, en cruel manque de café, pourchassant George, clame « Le ciel peut attendre, George, mais pas pour ses capsules ! ». Et George remet toutes ses capsules..

     

    Non, George, tu te dois d’évoluer. Tu te méfies encore à ta sortie de boutique, scrutant le ciel en quête d'un hypothétique piano! George, tu dois apprendre qu’une deuxième chance, ça se mérite, qu’il ne faut pas garder tes capsules pour toi, mieux encore, tu dois les recycler ! ! ! Warren Beatty doit jubiler devant sa télé.. car, là, on pousse la capsule vraiment loin..

     

     Crédit photos : allocine.fr;data-allocineblogomaniac.fr

     

     

    La version longue du spot "Heaven", attention humour ravageur ! 

     

     Trailer  Le ciel peut attendre avec Warren Beatty

     

     

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  • Eric Naulleau, ça balance plus à Paris !

    981924848[1].jpg« Ça balance à Paris » sur Paris Première était une émission culturelle fort sympathique, où Pierre Lescure, chaleureux et avisé meneur de débat recevait des invités et des chroniqueurs multiples et variés, et nous proposait une sélection culturelle hebdomadaire fine et pétillante. Mais tout cela est fini ! Qu’avons-nous aujourd’hui, et plus particulièrement cette semaine ? Depuis la rentrée une nouvelle formule avec un Eric Naulleau catapulté au milieu de banquettes rouges vides, au creux d’un plateau lui-même amputé de la moitié de son public. Les chroniqueurs tout aussi réduits, voient leurs mots filtrés et leurs chroniques formatées à 60 secondes, au profit d’invités de marque. Paris Première frôle le Paris dernière !

    Le choix du chroniqueur invité se résume cette semaine à un Karl Lagerfeld à contre-emploi, qui ne chronique même pas, peut-être trop interrompu par un Naulleau un brin refroidissant! Ce dernier fait l’édito, à la façon d’un bâclé « ça balance à la Naulleau » sur le dernier Michel Houellebecq, La carte et le territoire. Elisabeth Quin est fatiguée et quasi muette. Elle ne s’amuse plus. Elle ne joute plus, il n’y a plus personne en face ! Quant à Philippe Tesson, pareil à lui-même, il balance mais dans le vide, plus personne ne rebondit sur l’écho! Le plateau sert de « comptoir à promotion » de personnalités certes très intéressantes, comme Jacques Chancel, Patrick Poivre d’Arvor, ou Dominique de Villepin, mais où est passé l’esprit bon enfant, l’esprit culturel sans complexe et curieux. Naulleau joue au Bernard Pivot, en passant par Guillaume Durand, ou encore Bernard Rapp, mais sans picorer d’un geste gracieux dans une Assiette anglaise. Mais où est cette verve toute française et distinguée, cette « impertinence à l’ancienne » propre à cette émission ? Mais où ça balance-t-il à Paris ? Le pompon revient à la rubrique de « l’objet culturel non identifié » où l’on présente le dernier livre de Jonathan Lambert, acolyte de Naulleau, tout juste extirpé d’une séance maquillage du plateau de Laurent Ruquier !

    Oui, « ça balance à Paris » ne balance plus rien, ou alors balance de façon non élégante, Pierre Lescure ne disait jamais « je me suis tapé de cette pièce », il restait convenable même dans la critique ! Eric Naulleau ne me plaît pas, il est peut être éditeur, journaliste, chroniqueur, estimé par beaucoup, mais ici, il ne correspond au aucun point à l’esprit de Paris Première, la chaîne du goût. Il y perd son « a », et devient Eric Nulleau..

     

    Ça balance à Paris sur Paris Première, tous les samedis à 18H10

    Crédit photo parispremiereleblog.fr

     

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  • DR HOUSE ET MR CASTLE

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    Dr House que nous connaissons bien, a désormais un concurrent de charme, Castle ! France 2 a en effet trouvé une pépite d’humour et vient agacer frontalement TF1 qui va bientôt redemander du diagnostic à Dr House, mais devra composer avec un romancier intrépide et beau gosse.

    Alors que Gregory House est débordant de cynisme, Richard Castle est un bon père et philanthrope ! L'un est en quête du diagnotic ultime, l'autre du crime parfait. Leurs seuls points communs seraient le port de la veste en toute circonstance et les femmes qui les entourent, toutes belles, indépendantes et fragiles à la fois. Les ex sont ravissantes, et les co-équipières des brunes à poigne. Les duos qu’ils forment avec ces dernières sont des modèles de relations sexy et épicées, et le public en redemande.

    Inspirées de grands couples de la télévision, ils nous font voyager à travers le temps. Regards en biais, tension sexuelle, protection, respect, admiration, tout y est. Il y a du Mulder et Scully, du temps des débuts d’X-Files. Si l’on remonte encore le temps, On retrouve aussi du Danny et Brett, Amicalement vôtre, dans l’esprit et le sens des réparties, du Chapeau melon et bottes de cuir, pour l’aspect cuir, et même du Starsky et Hutch, et si l’on pousse un peu, un soupçon de Magnum ! (Devinons qui sont les Les Zeus et Apollon,  les co-équipiers de Beckett ?) Castle est très second degré aussi, et rend hommage à de nombreuse séries contemporaines, comme Desperates Housewives, The Mentalist, Les Experts, Buffy contre les vampires, ou Charmed. Les répliques fusent, et on s’amuse beaucoup. J’ai en mémoire un épisode tourné dans une Wisteria Lane plus vraie que nature avec des voisins très desperate !

    Castle, la face cachée de Dr House ?

    Dr House à du soucis à se faire, car Richard Castle est le côté Dr Jeckyll. Il a une double personnalité, tantôt bon père de famille, il s’occupe à merveille de sa sérieuse et jolie adolescente et de sa mère trop collante, tantôt bon enquêteur et policier par adoption (il a fait écrire « Writter » sur son gilet pare-balles !), il sait être généreux, inventif, et très dévoué. Quant à House, il est plus proche de Mr Hyde, le côté obscur, et noir de Jeckyll. Il est certes un diagnosticien de génie, mais il vit seul, a tendance à l’autodestruction, n’a pas d’enfant, a rompu avec sa famille, et malmène ses plus proches amis. L’autre point commun, outre les femmes, et les vestes (et toutes les vestes !), c’est la solitude sentimentale induite par une relation subtile et complexe avec leur partenaire de travail. Castle et Beckett sont deux âmes perdues, francs tireurs, pétris d’admiration l’un pour l’autre. House et Cudy, deux docteurs en mal de pilules d’amour !

    On se demande qui des deux triomphera, Dr House, pour son infini sarcasme, et sa troublante séduction, ou Mr Castle pour son humanisme, et sa fraîcheur faussement candide ? Rendez-vous lors du match télévisuel au retour de Dr House sur TF1 ! Tika sera au rendez-vous.

     

    CASTS1E0143[1].jpgSynopsis : Richard Castle, le héros de Castle, est un écrivain à succès spécialisé dans les thrillers. Riche et célèbre, il s'ennuie aussi terriblement, à tel point que, dans son dernier livre, il tue Derrick Storm, le personnage qui lui a apporté le succès. La police s'intéresse à lui lorsqu'un tueur en série s'inspire de ses romans pour commettre des meurtres. Une fois cette affaire résolue, Castle, enchanté par l'expérience, est autorisé à participer aux investigations d'une équipe de policiers. Cette collaboration, notamment avec la détective Kate Beckett, va nourrir l'inspiration qu'il cherchait pour une nouvelle héroïne. 

    Source du synopsis et crédit photos : serie-castel.over-blog.com, france2.fr

     

     

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  • SUPER NANNY NOUS A QUITTE..

    20006[1].jpgComment ne pas être émue par le décès de Cathy Sarraï, alias Super Nanny, la nounou des temps modernes, l'alliée de nombreux parents, toujours souriante, pleine d'entrain, d'humour, et d'empathie pour les autres. Elle est partie brutalement d'un cancer des poumons à 47 ans. Super Nanny, c'était une main de fer dans un gant de velours, une "artiste" du coaching parental. Qui n'a pas affiché la fameuse liste de l'emploi du temps et des tâches à accomplir dans la cuisine pour ses enfants. Au début du programme, pour le moins original, que de parents ont pris exemple sur elle. M6 a toujours sélectionné des cas un peu particulier d'enfant, nous le savons, mais les règles d'éducation basiques que dispensait Cathy fonctionnaient, remettaient les pendules à l'heure de certaines maman trop débordée, et apportait de la sérénité aux heureux parents spectateurs se disant dans le creux de l'oreille "tu vois chéri, nos enfants ne sont pas comme ça!". Je me souviens avoir vu les larmes de Cathy il y a plus d'une semaine, confrontée à une "enfant sauvage", dont la remise sur le droit chemin d'une enfance normale était particulièrement coriace! Le programme était assez trash, et elle-même disait face caméra ne pas être sûre de "redresser" cette enfant. Mais ces larmes n'étaient pas feintes, et sa vocation toujours au rendez-vous. C'était ça aussi Super Nanny, au delà des dérives de la télé-réalité, une femme tout simplement, et aussi auprès des enfants, une femme d'exception !

     

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