Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 2

  • PARIS PHOTO

    par-Paolo-Roversi[1].jpgPetit rappel pour tous ceux qui aiment la photo !

    Très bientôt une petite sélection de Tika, toujours très stylée..

    PARIS PHOTO au Caroussel du Louvre

    19 - 22 novembre 2009

    (Photo Paolo Reversi)

    Lien permanent Catégories : Tika loves Art 0 commentaire Pin it!
  • LE VILAIN GRAND DUPONTEL

    C'est vilain et ça peut faire mal.. vous croyez?

    C'est Vilain, c'est même méchant, c'est le dernier film d'Albert Dupontel. Tika a vu la bande annonce ciné, et c'est si décoiffant (n'est-ce pas mère grand !) qu'elle ne peut résister à vous faire partager un teaser, mais ça ne vaut pas la salle sombre ! Allez-y les yeux fermés, Catherine Frot, comme vous ne l'avez jamais vue, Dupontel, très en forme (il rajeunit ou quoi) ! Un post, promis, dès que je l'ai vu , en vrai.. Grrrr.

     

    Lien permanent Catégories : Tika fait son cinéma 0 commentaire Pin it!
  • 5008 RAISONS D'AIMER LA PUB PEUGEOT !

     

     GRIZZLY BEAR, NOUVEAU TALENT !

    La réponse à la question que vous vous posez tous est : Grizzly Bear. Dans cette très belle et efficace pub pour le nouveau monospace Peugeot 5008, la musique est de Grizzly Bear, ils sont américains, et oui, ça ressemble à du Depeche Mode et à du Keane. Oui, et alors, quelle voix! Allez, voici le morceau en entier. Attention cordes vocales talentueuses, comme dirait Tika ! Cette pub est l'exemple même de la réussite globale : bonne musique, orchestration, bon tempo, bon acteur, humour, on ne focalise pas sur la voiture, et ça c'est très réussi, on la regarde, et surtout, on a encore envie de la réécouter.. les yeux fermés ! Vive le cinéma.. publicitaire !

     

    Lien permanent Catégories : TVTika 0 commentaire Pin it!
  • PIERRE ARDITI, UN TALENT NON PROVISOIRE !

    sp.jpgOn va voir Pierre Arditi au théâtre Edouard VII, ici dans Sentiments provisoires,comme on s’offre un vêtement coûteux, un week-end en amoureux, ou une pâtisserie rare. Le cœur ouvert et l’esprit avide, on s’installe dans son fauteuil d’orchestre, celui qui est tant convoité dans le noir, et on attend fébrile, le lever du rideau.

     

    Il est là, et comme à chaque fois, sa voix nous enveloppe d’un voile chaud, ce timbre quasi quotidien, tant il est présent dans les publicités ou les reportages animaliers. Il nous présente son personnage, Marc, se chauffe la voix sur quelques tirades, prend possession de la scène, et c’est peu dire. Il s’encre en nous de façon indescriptible, et nous tient en haleine du premier regard jusqu'à la dernière ovation. Sa séduction naturelle habille son visage d’un lifting permanent. La scène, agrémentée de pelouse et de bosquets, est un personnage à part entière, lieu d’une symphonie pastorale rythmée par les joutes verbales et les affrontements entre deux hommes pour une même femme.

    Pierre Arditi est de ces comédiens qu’il faut avoir vu sur scène pour l’apprécier dans sa véritable dimension. Ne comptez pas sur une retransmission théâtrale en direct pour en saisir les finesses d’interprétation et de jeu. Ici, on ne badine pas avec l’amour, on le respire. On ne simule pas une rupture, on la vit. François Berléand joue Félix, l’ami d’enfance, gauche, cynique et manipulateur, Sylvie Testud, la compagne de Marc, est Hélène, une jeune femme à l’amour certes décennal, mais provisoire et adolescent. Elle aime un peu, beaucoup, passionnément, plus du tout. Félix est l’ami de toujours, victime de l’attrait de la jeunesse. Va-t-il réussir à sauver l’amitié ? Hélène est le soleil de leurs vies d’hommes, mais est aussi le cœur de leurs mensonges et rivalités, va-t-elle réussir à le quitter, et à devenir une passagère de l’amour et de la nuit ?

     

    Certains silences habillent aussi bien les acteurs que leurs dialogues savoureux, et profondément humains. Les retours vers le futur et les avancées dans le passé rythment et allègent la mise en scène, et permettent aux acteurs de se rejoindre pour soliloquer.

    Quoi de plus savoureux que de les voir tous trois se donner la réplique, perdus dans les couloirs du temps. Le trio, l’homme la femme et l’amant, éternel terrain d’études et d’inspiration, la rupture, tendance urbaine et pendant indispensable à la rencontre, l’amitié, alliée de toute une vie ou sentiment provisoire ? Tout se joue sur un gazon, non maudit, lors d’une charmante et longue nuit d’été.

     

     

    Sentiments provisoires au Théâtre Edouard VII

    Auteur : Gérald Aubert

    Metteur en scène : Bernard Murat

    Avec Pierre Arditi, François Berléand, Sylvie Testud

     

    Lien permanent Catégories : Théâtre 2 commentaires Pin it!