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  • LE PRESIDENT, SA FEMME, ET MOI, UN NICOLAS SARKOZY PLUS VRAI QUE NATURE!

    affiche2[1].jpgJe suis assise dans le noir au Théâtre de L’Alhambra, en septembre 2010, prête à déguster Le Président, sa femme et moi, la nouvelle pièce de Bernard Uzan. Nous tentons l’expérience d’aller au théâtre le samedi après-midi, et quelle expérience ! Notre traversée de Paris nous avait donné soif de scène, alors, enfin assises, nous attendons le lever du rideau.

     

    Un spectacle dans la salle et sur scène..

    C’est le noir, et tout commence. La salle n’est pas pleine, quelques enfants sont présents, tout à coup, une opération fauteuil d’orchestre débute, le couple assis devant moi, se lève et court d’un pas de chat jusqu’aux deux fauteuils collés à la scène repérés auparavant. Nous commençons déjà à rire. Le monsieur est corpulent, la discrétion massacrée. Ensuite, un homme perd l’équilibre sur son strapontin mal orienté. Il pousse un petit cri de désespoir, et se rattrape au dernier moment. Ça y est, mon boyau de la rigolade commence à me chatouiller irrésistiblement. La pièce a déjà débuté dans la salle. Nous sommes prêtes pour le reste. Les rideaux s’ouvrent. Une décoration XVIIIième, soignée, nous sommes à l’Elysée grands dieux ! Le président Thomas Barosky surgit, et là, nous assistons à non pas à une comédie 20% vaudevillesque 80% boulevard, mais à une représentation digne d’un Lac des cygnes en eaux politiques. Michel Guidoni est un as de la caricature. Notre président Nicolas Sarkozy est passé à la moulinette. Et c’est pour ça aussi que nous sommes tous là. Haussement d’épaule en série, jeux de jambes et de genoux dignes d’un danseur de charleston, il nous masse à distance le cerveau de ses épatantes variations sur notre homme. L’exagération crée le rythme, et les gens applaudissent.. Michel Guidoni est un très bon imitateur, et nous le découvrons.

     

    Un héritier de Louis de Funès

    img-president-3[1].jpgAntoine Girard, un pauvre vendeur de canapé se fait enlever pour raison d’état par les services secrets du gouvernement, ayant le morpho-type le plus proche du Président. En effet, un sosie doit être trouvé d’urgence afin de répondre à son besoin d’ubiquité, son emploi du temps étant pire que celui d’un ministre. Alexandra Vandernoot, nous interprète une Isabelle Martini Baroski, bref une Carla Bruni à peine décomplexée, qui gratte sa guitare, et fait des ronds de jambes, qu’elles a toujours magnifiques. Reste qu’à cette date Alexandra devait avoir la gorge embrumée car elle poussait de la voix, comme une star académicienne en devenir. Quoique cela ne l’empêchait pas pousser la chansonnette ! Dommage, car les autres composantes du quatuor de la pièce sont parfaits. Les responsables de la sécurité de Monsieur le Président, Le colonel Tanguy, Jean Marie Lamour (vu aussi dans la pièce Hors Piste d’Eric Delcourt), et son adjointe Avril, Vanessa Guedj, nous font découvrir leurs talents pour ainsi dire comiques. La salle rit de bon cœur, la mise en scène est astucieuse, une sensation de confort nous gagne, entre deux répliques qui font mouche et des quiproquos en série. Exemple, le Président oublie de dire à sa femme que son sosie parfait rode à l’Elysée. Devinez un peu ce qui se passe. La confusion est telle que la fausse Carla, enfin la vraie Madame Barosky, ne sait plus sur quel pied danser, mais est- elle vraiment dupe ? Telle est la question. Qui est le chat, qui est la souris ? Le public est aux anges, quand le faux-vrai Président (on ne sait plus) se retrouve en caleçon, à passer de portes en fenêtres, poursuivi par une Première Dame, engluée dans une farce labyrinthique.

    Le boyau de la rigolade est toujours tendu. Et là, à notre surprise, l’adjointe Avril nous propose, entre deux répliques, une superbe glissade, un fou rire, qui contamine aussitôt la salle. Nous sommes emportées par les rires, fait de soutien et de relâchement. Notre boyau est tordu pour de bon, et quel bonheur.

    Cet après-midi au Théâtre est mémorable. Le spectacle est partout. La pièce est un délicieux goûter à la sauce présidentielle, avec des invités de marques comme Véronique Genest et Bernard Le Coq, et une utilisation de la technologie pour le moins surprenante, vous verrez..

     

    Le président, sa femme, et moi, une pièce écrite et mise en scène par Bernard Uzan

    Prolongations pour cause de succès au théâtre La Grande Comédie. Jusqu’au 03 avril 2011. Avec Michel Guidoni, Alexandra Vandernoot, Jean Marie Lamour, Aurélie Nollet (que je n'ai pas vue, succède à Vanessa Guedj).

     

    Voir les vidéos du Pésident Barosky sur le site Lepresident-safemme-etmoi.fr

    Réservation sur Ticketnet.fr

     

    Pour ceux qui traînent de la patte, à voir ce soir en direct sur Paris Première à 20H35

    Pour ceux qui préfèrent le noir, et les dorures, précipitez-vous !

     

    Nicolas Sarkozy inspire le théâtre, mais aussi le cinéma, il est le seul Président "en excercice" dont l'histoire est portée sur les écrans. « La Conquête » de Xavier Durringer sortira le 4 mai 2011. Il s’agit de décortiquer à la façon d’un documentaire son ascension au pouvoir en 2007. La ressemblance est frappante, c’est Denis Podalydès qui tient le rôle du Président, le casting incroyable, bref, une performance !

    En savoir plus sur allocine.fr

    Crédits photos : lepresidentsafemmeetmoi.fr

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  • EXPO COVER GIRL, RETOUR VERS LE FUTUR

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    COVER GIRL est une exposition futuriste et nostalgique à l’espace Art, Mode, Design des Galeries Lafayette. Un voyage dans le temps, qui traverse cinquante ans de photographie de mode illustrés de façon contemporaine par onze artistes et collectif. La photographie de mode, perçue comme une culture en soi, et la Cover Girl, la fille de la couverture de magazine mise en drapeau, ou en écharpe, presque symptomatique ! Une expo hybride.

    Comment renouveler le genre de la photo de mode, une culture visuelle partagée dans le monde entier ? Et comment faire de la Cover Girl une arme d’inspiration massive ? C’est le défi de cette représentation haute en couleur. Un regard décalé sur l’esthétique de la « belle femme ».

    Plusieurs écoles dans les couloirs de l’exposition.

    Il y a les critiques transformistes : Joséphine Meckseper, Martha Rosler (illustration de droite ci-dessus), General Idea, Michel Journiac (illustration du carton d'invitation), Claude Kosky, Hsia-Fei

    Les inspirés : Alex Katz, Juan Francisco Casas

    Les dénicheurs : Hans Peter Feldmann, Marlo Pascual, Rebecca Bournigault

    Au sein de ce parcours subliminal, une enclave figurative et charmante, une sélection inédite de couvertures de magazines éditées par les Galeries Lafayette de 1906 à 1968. Celle de 1938 vaut le détour, la Girl pourrait être dans le prochain ELLE ! Comme l’écrit Jonathan Chauveau, le commissaire de l’exposition, cette mini expo dans l’expo «est une source d’inspiration initiale du projet, leur présentation est une manière d’inscrire COVER GIRL dans l’histoire du Grand Magasin, tout en offrant un contrepoint historique aux « beautés de papier glacés » d’aujourd’hui.

    Mes coups de cœur :

    exposition, cover girl, galeries lafayette, la galerie des galeriesJuan Francisco Casas, ou le « Ballpoint Artwork »,

    dessine au stylo BIC ses toiles inspirées de ses photos.

    L'illustration couleur ci-dessus n'est pas une photo mais un dessin !

     

     

     

    exposition, cover girl, galeries lafayette, la galerie des galeriesJoséphine Meckseper, l’étude de l’art

    ou la manière de présenter les marchandises.

     

     

     

     

     

    La COVER GIRL, tu parles d’une couverture !  Un temple oui ! Le lieu de culte de tous les humains inspirés, une projection identitaire, un jeu de rôle. Voici une exposition qui en jette et qui se jette dans l’inconnu, l'anti-figuratif, et le contre-temps-porain..

    COVER GIRL du 27 janvier au 19 mars 2011, entrée libre

    La Galerie des galeries

    Art-Mode-Design

    1er étage des Galeries Lafayette Hausmann

    Prochaine expo « La Parisienne, Roman », l’appartement fictif d’une parisienne..

     

    Expo, sortie, les internautes au service des bons plans sur Qype.fr, et dans toutes les grandes villes de France

    Ou voir aussi la rubrique "Galerie d'art" de Qype

    Crédits photos : galeriesdesgaleries.fr; artespain.com; egodesign.ca; vogue.fr; etapes.com

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  • INTERVIEW DE JEAN-MARIE ROUART : LA GUERRE AMOUREUSE AURA-T-ELLE LIEU?

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    On ne présente plus Jean-Marie Rouart. Ecrivain, essayiste, journaliste accompli, membre de l’Académie Française, chroniqueur dans les media, amateur d’art, et habitué du monde. Généreux, Monsieur Rouart a bien voulu répondre à une « interview passion » autour de La guerre amoureuse. Quand la blogueuse rencontre l’académicien..

     

    LE ROMAN : La guerre amoureuse est l’histoire d’un directeur d’une revue d’art appelé en Finlande pour un congrès sur la critique littéraire. Bravant le froid et l’ennui, il est à mille lieux de prévoir que derrière la pureté des étendues blanches et glaciales se cache la passion brûlante et dévastatrice de sa vie, Helena, une jeune étudiante d’origine russe aux yeux bleu marine. Dès lors, il fera tout pour la revoir, l’avoir, l’aimer. Il subira la folie de la passion amoureuse, les assauts de son obsession maladive et des mensonges, les duperies sociales, les fourberies du monde artistique, et la tragédie de l’éloignement. Jean Marie Rouart a du style, et sait se jouer des hostilités passionnelles.

     

    L’INTERVIEW :

    Tika : Pourquoi écrire un roman d’amour ?

    Jean-Marie Rouart : L’amour et la passion sont diffus dans mes romans, notamment dans Le cavalier blessé et Avant-guerre, je voulais ici mettre la passion au cœur de l’action, la mettre en scène, et en dévoiler l’obsession.

    Tika : Qu’est ce qu’un cœur qui boîte ?

    J.M.R. : Mon héros est bancale, "un pied dans la réalité, l’autre dans un rêve inaccessible". Il reste impuissant par rapport à son rêve d’amour. Et par rapport à la passion, c’est une claudication totale !  Le propre de l’amour, c’est d’inventer quelqu’un à partir d’une base. Comme cette jeune étudiante. Le danger de la passion, c’est le retour à soi, car un être objectivé, on ne l’aime plus ! Ici, plus Helena lui fait du mal, plus il se sent exister, plus elle devient une drogue, et plus il cherche à avoir mal.

    Tika : Le mot barbelé revient, tel une sentence dans votre livre. Qu’est ce qu’une vie barbelée ?

    J.M.R. : Des barbelés, c’est une clôture avec des pointes. Et le propre des gens sensibles, c’est de se blesser sur ces pointes de vie barbelée, ils se déchirent un peu de partout, comme mes deux personnages.

    Tika : Faut-il avoir froid pour aimer ?

    J.M.R. : Dans l’amour, la dialectique du chaud et du froid revient souvent. Toutes les métaphores de la passion sont liées à des images de chaleur : une femme chaude, un amour ardent, les flammes de la passion. Ce pays froid est une métaphore de l’indifférence, du rien. Comme dit William Faulkner « Entre le chagrin et le rien, je choisis le chagrin » !

    Tika : Les mots sont-ils un personnage du roman ? Ici, ils claquent comme des coups de fouets, certaines lignes en sont même ébranlées..

    J.M.R. : Votre vision est juste, ils sont au centre du roman. Ils vivent à côté des personnages, ont leur propre histoire, et nous servent de guide. Un livre d’écrivain est un livre qui se relit, s’approfondit. Lire, c’est une promenade que l’on souhaite refaire. Ce que j’aime apporter aux lecteurs, c’est la légèreté, ce qui me plaît c’est la vérité par la beauté. Une phrase belle est toujours vraie.

    Tika : La guerre amoureuse aura-t-elle lieu ?

    J.M.R. : Oui ! Il y a tout de même deux « morts de l’amour ». La mort d’Helena, qui cesse d’exister pour lui, dès lors qu’elle s’écarte de sa vie, et sa mort à lui, qui reste un amputé du cœur, quand elle part.

    Oui, ils se sont fait la guerre, ils se sont affrontés. Des envies de la tuer reviennent à plusieurs reprises, tuer tout ce qu’elle a de propre, tuer ses démons. L’intérêt de nourrir cette pensé le fait vivre. Oui, c’est la guerre, avec ses codes : violence, passe d’armes, armistice, bagarre, traités de paix non respectés, guerilla, mensonges, et à la fin, une paix séparée. . tout en regrettant la guerre.

    Tika : Helena n’est-elle pas le fruit de son imaginaire. Serait-elle sa dépression passionnelle ?

    J.M.R. : Helena existe car elle est aimée. Elle devient un personnage mythique, un objet de culte, une déesse. Quand il cesse de l’aimer, la représentation est finie, et on se demande si elle n’a jamais existé, vous avez raison. Cette femme est un fantasme, car tout n’est qu’invention dans la vie amoureuse.

    Tika : La passion en trois mots ?

    J.M.R. : Invention - Exaltation - Souffrance.

    Tika : Qu est-ce qu’une bonne critique amoureuse ?

    J.M.R. : La critique n’a pas de place dans l’amour, car l’amour c’est l’abolition de l’esprit critique. On est dans l’irrationalité. L’idée de critique ne vient que des autres, des spectateurs de l’amour, non des acteurs, eux demeurent dans le rêve permanent.

    Tika : Est-ce qu’être amoureux, c’est se réconcilier avec soi-même ?

    J.M.R. : C’est le vouloir, mais à travers une guerre avec soi-même. On ouvre un conflit pour mieux se retrouver. Et au moment où l’on croit que l’on va se retrouver, non, on devient l’instrument de la guerre. Etre amoureux, c’est prendre un risque. C’est une quête de soi pour mieux s’explorer, tomber au fond de soi. C’est aussi un chemin vers la sagesse. Notre héros cherche l’impossible, il est bien l’archétype de l’humain, qui veut atteindre un rêve inatteignable. C’est un personnage à éclipses.

     

     

    LA RENCONTRE :  Quand la blogueuse rencontre l’académicien !

    La plume de Jean-Marie Rouart se promène sur les étangs du savoir

    comme une brise légère caresserait le cou d’un enfant au soleil

     

    C’est grâce à l’art que nous nous sommes rencontrés, au détour de mes mots si inspirés et publiés sur ce même blog, qu’il a dit si poétiques et si sensibles au sujet de la peinture de son père, le peintre impressionniste Augustin Rouart*. Des ombres bleutées et des éclats de lumière paternels, je suis entrée dans son monde bien à lui, fait de belles lettres éclairées d’art. Prix Interallié pour « Les feux du pouvoir », Prix Renaudot pour « Avant-guerre », ancien directeur du Figaro littéraire, et actuellement écrivain résidant et chroniqueur à Paris Match, il est un habitué des plateaux de télévision, et comptabilise les interviews. Cependant il a accepté la mienne. On lui avait reproché d’être un peu lisse et académique dans son essai « Cette opposition qui s’appelle la vie », lors de l’émission On n'est pas couché du 18 avril 2009. Alors Jean-Marie Rouart contre-attaque et nous livre ici un roman fait de passion et de déchirements, aux chapitres ciselés, au verbe parfois cru, qui claque, où l’encre coule à flot, dans un débit libérateur, comme le sang gonfle les veines quand l’amour déborde. Et au delà de ses mots, des peintures nous viennent à l'esprit, une barque de Claude Monet, un chemin de campagne de Camille Corot, une rue parisienne de Gustave Caillebotte, ou l’on entend tous les bruissements de la vie. Oui, entre références littéraires et picturales, La guerre amoureuse est partagée. Elle est autant déchirante de vérités humaines, qu’elle est poétique et fleurie.

     

    La guerre amoureuse de Jean-Marie Rouart, aux Editions Gallimard, 18€

    A la télévision : retrouvez Jean-Marie Rouart dans Semaine critique de Franz Olivier Giesbert ce soir, et mercredi 26 janvier dans Face aux français de Guillaume Durand, sur France 2.

     

    rouart[1].jpgEn savoir plus sur Jean-marie Rouart, ou l'Académie Française

    Le blog de Jean-Marie Rouart sur Paris Match

    Un beau reportage : La Corse de Jean-Marie Rouart sur Le Figaro.fr

     

     

    *A lire, l'article "Augustin Rouart, paysagiste du réel" :

    http://stylistika.hautetfort.com/archive/2009/10/10/augustin-rouart-artiste-peintre-et-paysagiste-du-reel.html

     Crédits photos : fnac.com ; ozap.com ; geo.fr ; academie-francaise.fr

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  • JOHN IRVING SUR FRANCE 5, UN MIRACLE !

    010953_20_1aa[1].jpgFrançois Busnel reçoit JOHN IRVING sur France 5 ce jeudi 20 janvier 2011 à l'occasion de la sortie de son dernier livre. C'est un événement! Cet écrivain très rare, un de mes préférés, est l'auteur du "Monde selon Garp", "L'hôtel New Hampshire", "L'oeuvre de Dieu, la part du Diable", ou encore "La quatrième main". Elève raté, dislexique, plus attiré par la lutte qu'autre chose, il réussit à merveille sa carrière universitaire, et devient indispensable à la littérature américaine dès le début des années 80. John Irving est un écrivain maintenant accompli, prospère et heureux, "Le Monde selon Garp" a fait sa fortune. Des adaptations au cinéma, des lecteurs passionnés, ses oeuvres sont incontournables. Que d'humour, de névroses, de mélodie, de qualités humaines dans ces lignes qui sont passionnées, de la vie, des hommes et des femmes, des ours, de la lutte, de Vienne, du New Hampshire, et de ce petit plus, qui vous tient toujours en haleine, vous fait rire et pleurer à la fois, du début jusqu'à la dernière ligne.. 

    Dernière nuit à Twisted River De John Irving, aux Editions Le Seuil, janvier 2011

    Mais qui est John Irving? Réponse ici. Crédit photo : france5.fr

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  • L'HOSROSCOPE DU THEATRE : LE CAPRICORNE

    capricorne[1].jpgChaque mois sur STYL IS TIKA, l’horoscope du théâtre. En fonction des astres et des traits de caractère du signe en cours, des recommandations théâtrales. Le Capricorne, signe de terre, perfectionniste et cependant timide aura besoin d’une petite ordonnance amoureuse..

    En ce début d’année trop de nervosité portera atteinte à vos projets amoureux. Heureusement Venus vient à votre secours. Pour vous détendre les mâchoires : Les Vocapeople, pour une expérience vocale, une autre façon d’être, au Théâtre Bobino

    Un vent d’incertitude plane sur votre couple, de plus, vous qui êtes très jaloux, n’acceptez pas que Madame sorte seule, emmenez-la voir une pièce qui parle de séduction, ça vous fera réviser : La nuit sera chaude, avec Josianne Balasko, au Théâtre de la Renaissance

    Côté activités de plein air, évitez les sports à risque, surtout le ski ! Allez savourez les numéros d’accrobatie vestimentaires, zéro risque : Arthuro Brachetti, aux Folies bergères

    Savoir freiner ses passions, c’est bien, mais quand l’amour se montre, attention. En effet, un ancien amour pourrait croiser à nouveau votre route. Pour réfléchir à ce que les filles ont en tête : L’amour, la mort, les fringues, une succession de stars, en janvier, Bernadette Lafont, Géraldine Pailhas, Karin Viard, .. au Théâtre Marigny Popesco

    En janvier, vous n’êtes pas surchargé de travail, alors vous qui êtes responsable et administratif, surveillez vos finances personnelles, sans pour autant ne penser qu’à vous, et vous repliez sur vous-mêmes, comme vous en avez l’habitude. Afin de se reprendre : Le nombril, avec Françis Perrin, à la Comédie des Champs-Elysées.

    Crédit photo : marieclaire.fr

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